Le Petit Journal SUPPLÉMENT ILLUSTRE Le Petit Journal et son supplément illustré Le " Petit Journal " est l' un des plus anciens journaux de France. Il est né en 1863 et sa création doit être considérée comme l' un des événements qui marquèrent le plus profondément dans la vie du Paris de naguère. Dans l' histoire de la presse, c' est plus qu' un simple épisode ; c' est la date mémorable d' une véritable révolution, non pas seulement dans le journalisme, mais dans les moeurs Les générations actuelles ne peuvent imaginer ce qu' était la presse avant l' apparition du journal à cinq centimes, du journal populaire mis à la portée de toutes les bourses. La presse ne jouissait d' aucune liberté. Des législateurs ombrageux lui avaient fait un code bizarre et l' avait reléguée hors du droit commun. Son état était d' exception. Le gouvernement ne souffrait d' elle rien qui pût, non pas même le blesser, mais simplement l' égratigner. On exigeait des journaux de lourds cautionnements ; une censure jalouse les surveillait de près ; à la moindre critique, à la plus petite allusion politique, les amendes tombaient sur eux dru comme grêle ; à la récidive, c' était l' interdiction. C' est assez dire que la masse du peuple, les ouvriers,les employés, les petits bourgeois étaient condamnés à ne point lire les journaux. Les gens aisés eux-mêmes y regardaient à deux fois avant de s' abonner à un journal. Les uns allaient lire gazette au cabinet de lecture ; d' autre s' entendaient entre voisins pour prendre un abonnement à l' une des grandes feuilles de Paris. Millaud n' avait, en
créant, d' autre intention que de donner au peuple, tous les
jours, un écho de la vie nationale : informations, fait divers,
chroniques inspirées par les événements d' actualité,
causeries sur le théâtre, variétés, romans,
mais pas de politique ! Jean LECOCQ. ( Almanach 1940 ) Accès au site du Petit Journal illustré La presse à 1 sou. Le Petit Journal ( Journal à 1 sou : 5 c) créé le 1-2-1863 par Moïse (dit Polydore) Millaud, non politique et donc non timbré, de demi-format, 4 pages ( 6 en 1901 ) L' objectif étant de séduire le maximum de lecteur afin d'attirer les publicitaires, la stratégie dominante est de vendre au prix le plus faible possible. En 1863, Moïse Polydore Millaud lance à grands renforts de publicité « Le Petit Journal » ; c'est le premier journal français dont la stratégie est accès sur le sensationnel. Le prix de vente est également modique afin d'en faire un journal populaire. Pour ne pas avoir à payer le timbre (5 centimes par numéro) qui eût rendu l'entreprise impossible, le journal était apolitique. Les autorités du second Empire favorisèrent le développement de cette feuille bon marché et de ses concurrentes. Après le 4 septembre 1870, le timbre supprimé, Le Petit Journal put parler de politique. Malgré quelques crises - en 1870, plus de 400 000 exemplaires, on compte, en 1892, un million d'exemplaires. Girardin en prit le contrôle en 1873. En 1937, il ne tirait plus qu'à 150 000 exemplaires, quand il devint l'organe du Parti social français.Replié à Clermont-Ferrand en juin 1940, Le Petit Journal y vécut, médiocrement, jusqu'en 1944; durant cette période, il reçut chaque mois une subvention du gouvernement de Vichy. Des publications hebdomadaires annexes, la plus célèbre fut son Supplément illustré en couleurs, dont les images offrent un très pittoresque exemple des curiosités et de l'idéologie populaire de la fin du siècle. Cette réussite provoque une montée en flèche de ce nouveau genre de périodique, (le Petit Parisien par exemple. Le Petit Parisien fondé par Louis Andrieux ; en 1879,1er n° le 16-10-1870. La presse a donc, tout au long du 19 eme siècle, évolué en fonction de son public et des nouvelles possibilités techniques. Après la loi de 1881 et pendant les années 1890, la presse va se caractériser par la diversité, chacun des français à son journal. A la fin du siècle, le terrain est préparé à la crise qui va bientôt secouer le pays : Les journaux deviennent un véritable pouvoir, parce que connus de tous. Imprimé sur la machine rotative chrono-type de Marinoni Le Petit journal, en ces temps héroïque, n' avait pas son imprimerie à lui. On ne connaissait encore qu' un seul procédé d' impression : le tirage à plat qui n' imprimait qu' un exemplaire de quatre pages à la fois et qui, en raison de la lenteur avec laquelle s' effectuait le travail, restreignait fatalement la diffusion du journal. Les lecteurs répondirent bientôt en si grand nombre à l' invite, que l' imprimerie Serrière se déclara dans l' impossibilité de suffire seule au tirage. Il fallut donc fournir d' exemplaires les marchands en temps voulu, recourir à plusieurs imprimeries. Or, l' imprimerie, à cette époque, n' était pas une industrie libre. On devait, pour en ouvrir une, acheter un brevet ; et les brevets, dont le nombre était limité, se trouvaient entre les mains des imprimeurs qui les gardaient jalousement et se partageaient la clientèle par spécialités diverses : Livres, journaux, catalogues, papiers administratifs, etc . Les imprimeries de journaux étaient groupées aux environs de la Grange-Batelières et du croissant. L' une des plus achalandées était l' imprimerie Schiller, 10 et 11, faubourg Montmartre : elle fut chargée d' une partie du tirage du Petit Journal. La première rotative Hippolyte Marinoni aurait pu être, comme le disait alors un spirituel chroniqueur, " un héros de roman pour son propre journal : Marinoni ou le labeur récompensé " , né à Paris, fils d' un gendarme d' origine Italienne, il avait, en son enfance, gardé des bestiaux. Et, bien loin de rougir de son humble origine, il s' en glorifiait volontiers. Marinoni fut ouvrier dans une fabrique de presses à bras, puis fondeur de caractères. Enfin, en 1872, il réalisait la prodigieuse invention de la presse rotative avec margeur automatique et à papier continu, tirant régulièrement 40.000 exemplaires à l' heure. Quelques année après; Marinoni construisait la grande presse rotative à impression polychrome, qui débitait à l' heure 20.000 exemplaires, tirés d' un seul coup en six couleurs, et sur laquelle étaient imprimées les publications illustrées, succédanées du Petit Journal, notamment le Petit Journal Illustré, dont on tira, par semaine, jusqu' à douze cent mille exemplaires. Le Petit Journal illustre : Les grandes inventions Marinoni Hippolyte Auguste Marinoni , Par Éric Le Ray En mémoire d'un Grand Homme disparu Le Petit Journal Illustré "Le Petit Journal
Illustré" est le supplément du quotidien "Le
Petit Journal". Les premiers numéros sortent tous les vendredis
pour le samedi ( le premier numéro, samedi 29 novembre 1890),
en janvier 1894 tous les dimanches, pour le lundi puis en novembre 1894,
Il parait les dimanches pour le dimanche. ( Le "Petit Journal Illustré" du 4 Octobre 1914 ) A
nos Lecteurs En 1915 le journal reparaît
sur huit pages dont deux, parfois quatre, en couleurs avec en plus,
ce qui est nouveau, des photos. A partir de 1916 la plupart des couvertures
représentent un général français ou allié.
La couverture, souvent dessiné par Damblans, est ce qui constitue
l'intérêt du journal. C' est un dessin souvent allégorique
et patriotique. En 1917 le journal change de dimension plus carré
que rectangulaire et le coq apparait dans le titre.
Le Petit Journal Illustré, puis L'Illustré du Petit Journal a publié son dernier numéro le 1er août 1937.
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n°1 du 29 novembre 1890 |
1918 |
1922 |
1922 |
1924 |
1926 |
1935 |
1er Aôut 1937 |
Le Petit Journal disparaît en 1944
Moïse Millaud ( Bordeaux,1813-1871) Moïse Millaud est né à
Bordeaux en 1813. Il est à l'origine de la création
de la Caisse des chemins de fer avec Jules-Isaac Mirès et Solar. Millaud, Alphonse (Mouriès, 1829 ~ ?) Neveu du banquier Moïse Millaud, il fut appelé à Paris par son oncle en 1854. Il entra alors dans le journalisme (La Presse, 1856; Le Journal des actionnaires, 1858). Il devint en 1863 le directeur-gérant du Petit Journal, fondé par son oncle. Il prit part à la création de plusieurs journaux (Le Journal illustré, Le Journal politique, etc.). Son oncle ayant fait de mauvaises affaires, il eut recours à divers expédients pour éteindre ses dettes, à la suite de quoi il fut traduit en justice correctionnelle et condamné le 13 juin 1875. Émile de Girardin (Paris, 1806 - 1881). Publiciste et homme politique français Promoteur du journal à prix modique, il créa en 1836 la Presse, quotidien qui faisait une large place à la publicité pour s'assurer des ressources et au roman-feuilleton pour conserver des lecteurs. Il fut expulsé après le coup d'État du 2 décembre 1851, mais il revint en France au bout de deux mois et acheta en 1866 la Liberté, journal qui se fit le défenseur de l'Empire libéral. Il soutint en 1872 la politique de Thiers dans le Moniteur universel et le Petit Journal, puis rallia le camp des républicains en 1877. Opportuniste politique, remarquable homme d'affaires, Girardin est généralement regardé comme le fondateur de la presse moderne. Escoffier, Henri (Sérignan, 1837 ~ Paris, 1891) D'origine bourgeoise (son père était notaire), il fut élève du collège Bourbon, à Aix, puis étudiant en droit à Paris. Il fit, en 1860, un riche mariage. ~ II débuta en 1857 au Courrier de Paris, écrivit ensuite dans plusieurs grands journaux de province et entra, en 1863, au Petit Journal, dont il devint, en 1873, le rédacteur en chef. II traita dans ce journal tous les sujets, sous divers pseudonymes, et publia en particulier, avec quelques collaborateurs, une chronique quotidienne sous le pseudonyme collectif de Thomas Grimm. Il fut fait chevalier de la Légion d'honneur le 16 mai 1873. ~ Il est l'auteur de nombreux romans (Le Mannequin 1875, Le Mercier de Lyon, 1878) et d'une série de Femmes fatales. ROUX, Marius (Aix-en-Provence, 1838 ~ Paris, 1905) Il collabora à L'Événement illustré, au Rappel et au Petit Journal, où il débuta, en 1868, avec des causeries et des comptes rendus de procès, écrivant parfois sous le pseudonyme de Pierre Gringoire. Il fut secrétaire de la rédaction du Petit Journal pendant très longtemps (au moins vingt ans). JUDET, Ernest (Avesnes-sur-Helpe [Nord], 1851 ~ Paris, 1943) Fils d'un officier en retraite, il fit de brillantes études secondaires et entra en 1871, premier de sa promotion, à l'École normale supérieure. Professeur au lycée de Bastia en 1876, il fut mis à la retraite en 1878, après avoir refusé un poste à Châteauroux. Rédacteur au quotidien Le National, sous Hector Pessard, à partir de 1879, il se présenta sans succès aux élections de 1881. Il collabora ensuite à La France et à La Nouvelle Presse, puis entra, en 1886, au Petit Journal d'Hippolyte Marinoni. Trois ans plus tard, il devint chef du service politique et, en fait, le véritable directeur du quotidien: il y poursuivit une violente campagne contre Georges Clemenceau et contre les panamistes, et fut un adversaire acharné de la révision du procès Dreyfus. Privé de son poste, en 1904, par le successeur de Marinoni, l'imprimeur Cassigneul. PAZ, Eugène (Bordeaux, 1835 ou 1837 ~Paris, 1901) Après des études au lycée de Bordeaux, il vint à Paris, où il obtint un emploi chez un agent de change et rédigea un certain nombre d'articles pour des journaux littéraires et financiers. . Il collabora à divers journaux, et fut un des directeurs du Petit Journal. TRIMM (Leo Lespès, dit Timothée). Un temps illustré par Léo Lespès [1815-1875] créateur du genre . Hippolyte Marinoni (1823-1904) 1866 MARINONI construit à Paris la première voiture typographique pour l'impression de journaux. Hippolyte Marinoni (1823-1904) fut élève du constructeur de machines dimprimerie Gaveau (1801-1855). Mécanicien, inventeur et constructeur de presses à imprimer, il collabora étroitement avec Émile de Girardin, précurseur de la presse moderne. En 1866, sa première rotative à journaux imprime Le Petit Journal ( 900 000 exemplaires en 1890). En 1882 Marinoni devient directeur de la rédaction du Petit Journal et surtout Président du conseil d' administration. En 1890, Hippolyte Marinoni met au point un procédé permettant à ses rotatives d'imprimer directement des illustrations en quatre couleurs. Aussitôt " Le Petit Parisien " ," Le Petit Journal " et " La Petite Presse " lancent avec succès un supplément illustré dont la première page en couleurs montre un fait divers interprété de façon grand-guignolesque par leurs dessinateurs. Hippolyte Marinoni fonde en 1847 la Société Marinoni après avoir déposé plusieurs brevets dont celui de la première presse à réaction. En 1866, sa première rotative à journaux imprime Le Petit Journal ( 900 000 exemplaires en 1890) |
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Désiré Cassigneul ( 1835 - 1906 ) C'est au commencement de l'année de 1868 que M. Désiré Cassigneul apporta au Petit Journal le concours de sa collaboration. Gendre d'Hippolyte Marinoni. M. Cassigneul était alors chargé, au Petit Journal, de la direction des divers services de l' Imprimerie et de l' Administration. Mars 1871, M. Cassigneul fut arrêté par les fédérés et fut relâché, grâce a sa femme, qui se prodigua en démarches. Membre du Conseil d' administration puis administrateur délégué du Petit journal. A la mort de M. H. Marinoni son beau- père, la direction du Petit Journal fut conférée à M. Cassigneul. Né à Paris en 1835 M. D. Cassigneul débuta dans sa longue carrière de travail comme apprenti typographe ; puis il fit partie du personnel de l' Economat de la Compagnie P.-L.- M. C' est alors qu'il associa sa destiné à celle de M. H. Marinoni qui, reconnaissant ses remarquables qualités de travail , d'honnêteté et de conscience, lui donna sa fille en mariage. |
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Charles Prévet ( 1852 - 1906 ) Homme politique français né le 18 mars 1852 à Paris et décédé le 25 février 1914 à Paris ( voir Le Petit journal le 8 mars 1914). Etait entré au conseil d'administration du Petit Journal en 1881. Il en devient le président à la mort de M. Marinoni, et prit en 1906 la direction du journal.
LE PETIT JOURNAL. Quotidien
non-politique: Paris, 1er/2 février 1863 - 27 août 1944.
Directeur-gérant-fondateur: Alphonse Millaud, jusqu'en février
1873, puis éditeur-gérant: D. Cassigneul. Directeur politique:
C. Jenty, jusqu'à sa mort le 26 avril 1882, puis Marinoni. ~
Journal populaire d'information, apolitique ou de tendance républicaine
très modérée; faits divers à sensation et
feuilletons occupent la plus grande place dans chaque numéro.
Ce dernier occupera une place de plus en plus importante, puisqu'on
verra bientôt apparaître deux romans-feuilletons dans le
même numéro; ce numéro est vendu 5 centimes; c'est
la première apparition de la presse à bon marché.
Il va se répandre très largement à Paris et en
province. Son succès est triomphal: 38 000 exemplaires en juillet
1863, 83 000 en octobre, 266 440 à la fin de l'année 1866.
L'essort du Petit Journal a été rendu possible par le
développement de la technique qui va permettre de tirer un nombre
d'exemplaires considéré comme fabuleux à l'époque.
Son succès attire les imitateurs (Journal populaire de Lille,
Le Grand Journal, L'Evénement), y compris du côté
gouvernemental (Le Moniteur universel du soir, qui arrache à
prix d'or le chroniqueur Timothée Trimm à Millaud). En
mars 1869, il tire à 287 000 exemplaires. Il suspend sa publication
entre le 15 et le 28 mai 1871, après une attaque lancée
contre son imprimerie par la Commune. Il est, par la suite, républicain
conservateur, mais continue à se garder de "faire de la
politique". La chronique quotidienne est signée Thomas Grimm,
successeur de Timothée Trimm, passé au Petit Moniteur
universel du soir. Son tirage ne cesse de croître: 308 000 exemplaires
en 1874, 475 000 exemplaires en 1877. Très prisé à
Paris dans les milieux populaires et petit-bourgeois, il est diffusé,
en province, auprès des ouvriers et des habitants des petites
villes et des campagnes. Il accorde plus de place aux faits divers,
aux "variétés" et aux feuilletons qu'aux informations
politiques, qui sont abordées, d'une manière très
neutre, par Thomas Grimm, dans sa chronique quotidienne de première
page. Son succès est immense dans les milieux ouvriers, à
Paris comme en province, et dans les campagnes; il tire à 523
000 exemplaires en 1878, à 584 000 en juillet 1880. Son influence
continue à être considérable sur l'opinion publique.
En 1881, il tire à 675 000 et en 1883 à 725 000 exemplaires.
Les faits divers et les nouvelles à sensation y tiennent toujours
une place importante, de même que les feuilletons (deux par numéro),
et les nouvelles financières pour petits épargnants. Le
bulletin quotidien de T. Grimm, en première page, aborde les
problèmes politiques avec beaucoup de prudence. Il continue à
prospérer et persévère dans la ligne qu'il s'est
tracé de républicanisme modéré et de neutralité.
Le bulletin quotidien de T. Grimm occupe toujours, avec le feuilleton,
la première page. Les articles ne son pas signés. Ce journal
d'information populaire à grand tirage, tire 1 million d'exemplaires
en 1890. Nationaliste et militariste, son rédacteur en chef et
directeur de fait, Ernest Judet, entraîne Le Petit Journal dans
la campagne antidreyfusarde et poursuit celle-ci après le procès
de Rennes; l'audience du quotidien s'en ressentit. ~ Principaux collaborateurs
(la plupart des articles ne sont pas signés): E. Abraham, M.
Aycard, A. Bouvier, E. Chavette, J. Claretie, V. Cochinat, A. Dollfus,
E. Drumont, A. Duran, E. Frébault, C.Guéroult, A. Karr.
A. de Lamothe, A. Laroque, H. Legay, L. Lespès (Timothée
Trimm), remplacé par T. Grimm. Albert Millaud, C. Monselet, G.
d'Orgeval, E. Paz, M. Roux, P. de Saint-Victor, G. Stenne, J. Tapié,
Valyn, P. Véron. "Premières représentations"
(A. Laroque, puis L. Kerst); "Revue des théâtres"
(E. Abraham). Collaborateurs occasionnels (en particulier pour les rubriques
"Variétés" et "Chronique": J. Barbabou,
G. Bell, A. Bussières, P. Clisson, E. Durand, A. Montay, E. Paz,
B. De Renjard, M. Sigori, O. Stenne, P. Véron. Feuilleton (deux
feuilletons par numéro): A. Belot, E. Berthet, A. Bouvier, V.
Cochinat, C. Deslys, A. Dollfus, A.Dumas, E. Enault, E. Gaboriau, H.
Gréville, C. Guéroult, C. Joliet, H. Legay, L. Jourdan,
H. Legay, J. Mary, A. Matthey, X. de Montépin, E. Muller, G.
Pradel, E. Quinet, J. Raynal, E. Richebourg, H. Rivière, P. Saunière,
A. Scholl, L. Stapleaux, Turpin de Sansay, J. Verne, P. Zacconne. ~
Zola y publie 9 textes, du 6 novembre 1864 au 1er juin 1865. (t. I:
69, 87, 92, 95, 105, 108, 110, 112, 120, 164, 179; t. II: 48, 58, 69,
329, 350; t. III: 121, 130; t. IV: 17; t. V: 180; t. IX: 153, 166, 177,
216, 219, 221) G. Lasseur Le gérant Encre lorilleux D . Cassigneul imprimerie, 61, rue Lafayette Paris Imprimé sur la machine rotative chrono-type de Marinoni |